• De retour au pays du mojito et de la salsa du 15 décembre au 5 janvier 1re partie

    Seize ans après leur premier voyage à Cuba....

     

    Pour voir le trajet, cliquer ICI

     

    Seize ans après leur premier voyage à Cuba, où ils s'étaient promis de revenir un jour, ils s'envolent pour La Havane. Dès que l'avion prend de l'altitude, ils découvrent, les volcans les premiers comme posés sur du coton, puis tout s'éclaircit, une mer de verdure d'où parfois émerge un cône.

    Vues d'avion


    Arrivés à La Havane, derniers de la fille d'attente pour les formalités, ils sont choisis pour une enquête. Passé l'immigration un douanier, leur demande de le suivre, subtilisant au passage le passeport du Trotteur. La suite de l'enquête durera près d'une heure, un gentil toutou viendra renifler les sacs, pendant ce temps le passeport passera de mains en mains, les pages seront tournées, inspectées, elles sont marquées de tant de tampons, les sacs continueront leur voyage au travers d'un scanner, un de plus. L'enquête prendra fin ils avaient juste oublié de mentionner sur le badge de la première enquêtrice, douane.
    A travers les vitres du taxi dont les trous du plancher laissent voir la route, aux amortisseurs très fatigués, et la direction incertaine obligeant le conducteur à donner des coups de volant brutaux, ils regardent défiler La Havane. Toujours grouillante de vie, toujours ses légendaires voitures, certaines après un relookage ont entamé une autre vie, taxi promenade pour touristes désirant faire un bon dans le passé un appareil numérique à la main, toujours la musique qui résonne dans toutes les rues, parfois couverte par le bruit des klaxons rageurs aux feux tricolores.

    Nouvelle jeunesse


    Toutes les voitures n'ont pas eu droit à cette toilette, certaines donnent l'impression qu'elles peuvent s'écrouler rapidement sans prévenir, tant la carrosserie est rouillée. Après un court passage à l'hôtel, ils partent vers la calle Obispo.


    Les tristes magasins vides ont laissé la place à des boutiques attrayantes dont les rayons sont beaucoup plus remplis, librairies, articles de souvenirs, restaurants, café, mode...La pharmacie est toujours à la même place avec toujours ses beaux pots mais avec maintenant, sur les rayonnages des produits de beauté. Autre bon en arrière, pour les Trotteurs, l'atelier du peintre, Ernesto Villanueva. Il débutait presque en 1998, il fallait traverser son appartement pour aller dans l'atelier. Maintenant reconnu, faisant des expositions un peu partout dans le monde, ses tableaux tout aussi colorés, résolument tournés vers le moderne sont accrochés aux murs d’une belle galerie toujours au même emplacement. L'heure tourne, il faut repartir à l'aéroport, Gilles et Josette arrivent à 18h05.


    Nouveau taxi cette fois, le chauffeur beaucoup plus sympathique, leur apprendra que la vie a changé qu'elle s'est améliorée, mais aussi qu'elle est plus chère. Parlant de Vinales, haut lieu touristique, il leur indique le chemin, tout en leur tendant une carte d'une casa particular, chambre d'hôtes. Cela aussi n'a pas changé, il suffit de parler à une personne qui vous donne le nom d'une autre qui elle donnera...le changement c'est la carte imprimée avec le plan d'accès qui remplace le confetti sur lequel ils écrivaient l'adresse.
    Le hall de l'aéroport est plein, l'avion arrive à l'heure, c'est l'affaire de quelques minutes pensent-ils. Et bien non, il leur faudra attendre plus de 2 heures, se demandant si au dernier moment il n'y avait pas eu un problème (ce qui aurait pu arriver, les taxis Parisiens débutant une grève le lundi, jour de leur départ). Pendant tout ce temps, des scènes de retrouvailles émouvantes, des petits enfants grands parents....des chariots chargés de valises, postes télévision, chaînes hi-fi. essuie tout... Au bout de 2 heures enfin les voilà.
    Le lendemain, au fil des rues, ils découvriront la Habana Vieja et sa multitude d'édifices colorés qui abritent des musées et des restaurants; Plaza des Armas avec le Palacio de los Capitanes Generales, musée de la ville, ici pas de changement les nombreuses employées du musée arrondissement leurs fins de mois en proposant aux touristes soit un bout de visite commentée, soit prendre une photo.

                            

    Plaza de la Cathédrale toujours aussi envoutante avec ces femmes apportant les touches colorées et ces fumeurs de Havane, tous proposant de poser pour la photo, contre rétribution sur les rythmes de la musique Cubaine, que le Trotteur retrouve avec délice.

                                                     

    Le nez en l'air, ils arpentent les rues, de nombreuses petites places bien ombragées permettant aux promeneurs une halte.

    Les Trotteurs pénètrent dans un lieu déconseillé 16 ans plus tôt la Plaza Vieja, rénovée, dotée de bars et restaurants, où ici la grand-mère édentée et fripée comme une pomme n'hésite pas à danser dès la première note de musique.

                           

    Plaza Saint François d’Assise, avec sa fontaine aux Lions.


    Un petit détour par le bar animé qu’aimait fréquenter Hemingway, la bodegita del medio,


    puis el Parque Central pour admirer le théâtre et son voisin le Capitole. Belle journée de flânerie, qui ne pouvait se terminer que par un mojito.

    Sur le Malecon


    Cap à l'ouest, vers Vinales en longeant la côte nord, très bucolique, où le touriste ne semble pas être très présent, à tel point que les restaurants ne sont même pas indiqués par une affiche, il faut voir des tables pour deviner que c'en un. Sur la route en état plus ou moins bon, beaucoup de charrettes, des gens à pied et des cavaliers.

     

                                   

    Ils retrouvent Vinales avec plaisir, ils auront l'impression que le temps s'est arrêté. Chevaux, vélos piétons se partagent la rue.


                                   

    Les maisons, peintes en bleu jaune, ocre, constituant pour l'essentiel l'hébergement touristique. Lorsqu'ils arrivent dans la famille qui les accueille pour 2 nuits c'est l'effervescence, il y a eu un échange de prisonniers entre Cuba et les États Unis, tout le pays est en liesse, les Cubains espèrent fortement une reprise des relations. A peine installés, une visite guidée dans le parc national leur est proposée départ 8 heures. Une randonnée de 3 heures à travers un paysages de mogotes,( énormes buttes de calcaire datant de l'époque des dinosaures), longeant des champs de haricots, de maïs, de tabac. Ici pas de tracteurs, un attelage de bœufs pour travailler cette terre rouge, le Trotteur poussera la charrue comme dans sa jeunesse. ..

                                                   

    Dans un séchoir à tabac, avec des feuilles séchées depuis un certain temps, juste là pour attirer le nez de la Trotteuse qui ne sent rien; normal il manque la phase fermentation de 45 jours pendant lesquels on les asperge d'un mélange de jus de 5 fruits, ils auront toutes les explications de la culture du tabac à l'élaboration du cigare faisant un petit détour sur le café avec à la clef vente de cigares et de café. Cette fois le nez de Trotteuse se régalera de l’odeur. Amateurs de cigare, sachez que le meilleur cigare est celui roulé avec les feuilles du haut, que sa couleur est foncée, sa gestation dure un an entre le moment où la graine est semée et le cigare sur le présentoir. 90% de la culture est vendue à l'état, le reste laissé aux cultivateurs pour leur consommation personnelle ou la vente. Après cette belle balade, passage à la banque, une heure 30 de queue, la veille ils n'avaient pas trouvé le distributeur, et pour cause il n'y en a pas. Wifi, c'est un mot presque inconnu, un seul point de connexion avec peu d'ordinateurs, là aussi la patience est de rigueur. Pour terminer la journée, ils poussent jusqu'au mur de la préhistoire,

    puis au mirador. Ce mirador leur laissera des souvenirs impérissables. Le paysage au coucher du soleil est superbe.
                                             

    De retour à la voiture surprise 1 pneu à plat un autre presque dans le même état. Impossible de repartir. Un jeune homme vient spontanément les aider oui mais pas de garage aux alentours, que faire? Aucun moyen de communication, mais le jeune homme grâce à son téléphone portable appelle un taxi stationné à 50 mètres pour rejoindre Vinales à quelques kilomètres. Mais au moment pour Gilles de monter dans le taxi impossible, le chauffeur ne peut pas transporter des touristes? Il embarque les 2 roues annonce le prix de la réparation et le temps. Tout sera fait dans le temps et pour le prix. Le lendemain, ils apprendront qu'il n'y a pas de licence particulière pour transporter des touristes, et les pneus ne présentaient aucune trace des 2 clous que chacun auraient ramassés, alors arnaque?


    Pendant qu'ils attendaient sur le bas-côté que les roues reviennent, ils en apprirent un peu plus sur la vie Cubaine. Par exemple sur les vaches qui paissaient à côté d'eux, vaches d'état, seraient abattues et la viande vendue par l'état dans des magasins d'état. Ainsi le prix à payer est inabordable pour la majorité des Cubains. Mais Cuba reste Cuba avec ses deux visages. Ainsi plus tard dans une casa, à voix basse et mimant les cornes de la vache, on leur proposera de la viande de bœuf! En attendant ce soir-là, repas de fête, langouste, gâteau partagé avec la famille, il y avait de l'anniversaire dans l'air! !


    Cap à l'ouest avec une longue liaison, traversée de villages dans le Cuba hors des circuits touristiques, avec encore des surprises, les tickets de rationnement ne sont pas enfouis au fond des tiroirs, toujours en vigueur pour acheter du pain.
                                       


    Cienfuegos, une ville qui a bien changé, grande rue piétonne, avec de beaux immeubles bien rénovés. Le Parc Jose Marti du centre-ville, avec son théâtre, el Palacio de Gobierno tout de gris vêtu et le Palatino, il manquait le saxophoniste pour les remettre complètement l'ambiance de 98.

                     On prépare l'itinéraire, trés rigolo
                    

                     
               
                C'est bientôt Noel    L'enfant du pays  

    La laguna Guanaroca , lac salé bordé de mangroves, où ils pourront mitrailler les innombrables flamands roses, ou blancs les plus jeunes.

                                  



    C'est après un tour à la plage, qu'ils "retrouvent" Trinidad, et la Plaza Mayor, toujours aussi belle sous la chaude lumière du soleil de fin d'après-midi. Trinidad est devenue une ville très touristique, une multitude de commerces, cafés, restaurants, galeries de peinture. Mais, il y a 2 Trinidad, celle des jolies maisons coloniales, très bien rénovées, des maisons d'hôtes dans lesquelles il ne manque rien, des rues pavées et propres, et l'autre celle où la vie est bien différente pour certains Cubains, des petites maisons basses faisant penser aux maisons d'esclaves, des enfants qui quémandent des bonbons, des femmes demandant du savon.

                                                          
                                                          
                                                          
                                                          


    Même si cette réalité de 2 classes sociales dans un des derniers pays socialiste est surprenante, elle pourrait s'accentuer avec l'arrivée du flot des touristes des États Unis, les Trotteurs espèrent que Cuba n'y perdra pas son âme. Un petit détour sur le site San Isidro de los distiladeros, valle de los Ingenios, une visite guidée très intéressante, leur en apprendra un peu plus sur la distillation de la canne à sucre à travers l'histoire d'un domaine, dont la maison est en train d'être rénovée sous l'égide de l'Unesco. Pour l'instant seule la tour servant de mirador pour surveiller les esclaves se dresse au milieu d'une forêt qui a envahi le domaine.


    La chaleur de l'après-midi incite tout le monde à vivre au ralenti, ce n'est qu'en fin de journée qu'ils tireront le nez dehors, pour continuer à se régaler de Trinidad.
    Trinidad ils auront aimé s'y promener, jeter un coup d'œil à travers les grilles dans les casas ou dans les paladars (restaurants) ressemblants à des magasins d'antiquités, siroter un mojito en écoutant de la musique en live.
    Noël approche, ils choisissent un endroit paradisiaque, selon le guide les cayos du Nord.


    Une petite halte à Sancti Spiritus, petite ville pleine de vie avec de beaux édifices colorés, de belles maisons coloniales. Les Cubains attendent avec impatience l'arrivée des touristes des USA, certains propriétaires de casa particular ont bien à apprendre, comme celui de ce soir-là. A la faveur d'un bavardage et du rhume de la Trotteuse, autour d'un verre de rhum, une autre réalité Cubaine le marché parallèle des marchandises. Elle a posé x fois la question où pouvait elle acheter des mouchoirs en papier, nulle part, il n'y en a pas, alors essuie tout, encore moins, à défaut papier hygiénique pas plus, alors comment font-ils? Quand il y a un arrivage, tout le monde se précipite et stocke. Voilà pourquoi une pauvre touriste enrhumée pourra faire toutes les boutiques à la recherche de mouchoirs jetables, il lui revient en mémoire les rouleaux d'essuie tout sur les chariots à l'aéroport.

                                

    Départ matinal afin que la chaleur ne les accable pas trop. Ils choisissent la route la plus courte en kilomètres, mais ce n'est pas certainement pas la plus rapide, ce n'est ni une piste ni une route goudronnée un peu des deux, toujours des charrettes, cavaliers et beaucoup de monde à pied.

                                 

    Ils traversent une jolie campagne, avec palmiers royaux, canne à sucre, quelques étangs avec parfois un buffle prenant un bain. L'habitat est simple des maisons de bois coiffées d'un toit de palmes des fauteuils à bascule devant la porte.

                                

    Arrivée à Moron, ils cherchent à faire taire leurs estomacs, une pancarte accrochée à la grille propose pan con jamon, un sandwich au jambon. Ce n'est pas dans un café qu'ils entrent, mais dans la maison d'un couple. La femme portera les sandwichs, au demeurant excellents, sur une assiette, avec un petit morceau de papier en guise de serviette, décidément l'essuie tout fait défaut, avec le jus d'ananas maison tout autant délicieux. Casa particular, n'est pas une appellation garantissant les mêmes qualités, ici à Moron la casa particular de Maite tiens plus de l'hôtel restaurant très bien tenu par deux femmes soucieuses du bien-être du touriste. Ils y passeront le 24 décembre langouste, porc grillé Cubain l'équivalent de la dinde Française,

                                                                  

    et légumes seule la bûche manquera pour la tradition mais pas dans l'estomac. Le lendemain, rien ne fait penser que c'est le 25 décembre, les magasins sont ouverts comme un jour ordinaire, les camions de transports de marchandises circulent, pour eux ce sera farniente sur le cayo Coco. Ils pensaient arriver dans un haut lieu touristique, mais non, juste un lieu où les seuls Cubains sont les employés des hôtels où il n'y a plus ni charrettes, ni piétons. Le décor pour ce 25 décembre est digne d'une carte postale, mer turquoise, sable blanc, quelques cocotiers, et des transats sous des parasols en palme. Gilles et le Trotteur, iront pendant une petite heure découvrir au large les fonds coralliens.

                                                                Photo du Trotteur plongeur   Paresseux paressant

                                                                Photo du Trotteur plongeur   Photo du Trotteur plongeur

    Ils décident de continuer cette route du Nord, qui leur fait voir Cuba hors des circuits touristiques, avec une réalité bien différente de celle qu'ils ont pu voit ailleurs. Ici le matériel agricole est sans âge, la récolte d'orge sèche en de longs rubans dorés prenant la moitié de la route, les ouvriers allongés à l'ombre attendent avec les pelles et les balais que le soleil fasse son boulot,

                                                                 

    de grandes exploitations de canne à sucre, des gens sur le bord de la route attendant le bus, des slogans politiques désuets rappelant ceux de 98 qui jalonnaient l’autoroute.

                             

    Ils devaient faire une halte à Nuevitas, mais là c'est presque un choc. A l'entrée de la petite ville autrefois industrielle, des immeubles de 3 ou 4 étages avec les murs noircis par le temps mais une forêts d'antennes de télévision sur les toits, des maisons individuelles en bois qui auraient besoin d'une bonne rénovation, des magasins aux rayons peu garnis, des rues dans un triste état, des charrettes taxi, quelques vieux vélos, ils retrouvent le Cuba tel qu'ils ont connu en 98, ici rien n'a changé.

                            

    Ils poursuivent leur route vers Puerto Padre, en empruntant la route principale complètement défoncée, sur tout leur périple en Amérique du Sud, ils n'ont rencontré un tel désastre, ils sont presque seuls à circuler et pour accentuer cette impression de désolation et solitude, des taillis d’épineux s’étendent à perte de vue.


    Cela durera un dizaine de kilomètres, et à nouveau la campagne retrouvera une vie, de gros troupeaux de vaches d'état, des cavaliers pour les mener. A l'entrée de Puerto Padre, la gare routière avec quelques bus qui auraient bien gagné la retraite et une multitude de charrettes taxi. Ici pas de front de mer resplendissant, juste une statue de dauphin pour toute fantaisie. La casa particular qui se trouve sur leur chemin, leur est interdite, c'est pour une question de monnaie, il faut payer en pesos Cubains, monnaie exclusivement réservée aux Cubains, car il y a toujours 2 monnaies, les pesos et les CUC pour les étrangers. Autre style de casa particular, qu'il faut payer immédiatement, afin que la propriétaire puisse aller faire les courses pour le repas du soir. Autre constat, le prix des casas est un prix national quel que soit le confort, la situation géographique, pas d'étoiles non juste une ancre bleue ou rouge selon le type de monnaie, collée sur la porte. Malgré l'excellent poisson servi le soir, le confort sommaire du dernier hébergement les conduira à rejoindre directement la côte Sud.

     

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  • Commentaires

    1
    nicodesbois
    Vendredi 16 Janvier 2015 à 10:02

    Salut la compagnie ! Waouh, comme d'hab... Meilleurs voeux pour tous les deux en tout cas pour 2015, que la route soit belle et riche en rencontres.

    Bises

    2
    Michèle R.
    Dimanche 18 Janvier 2015 à 18:18

    Bonjour à vous, j'imaginais bien Cuba comme sur les dernières photos ( Nuevitas ) mais pas du tout avec ces villas colorées et pimpantes comme à Sancti Spiritus ou Cienfuegos . C'est magnifique, surtout avec la musique cubaine !

    Bonne route

    Bises

    3
    Mireille et Serge
    Mardi 20 Janvier 2015 à 13:38

    Coucou

    Vous souvenez vous de nous?

    Repas et après midi chaleureux à Paraty fin mars 2014

    Voilà un extrait de ce que nous avions mis dans un de nos courriels

    "Paraty bijou colonial et balnéaire nous retient deux jours

    Invitation, par un couple de français adorable parti en septembre pour 2 ans en camping car Patagonie Canada, à manger un poisson au BBQ

    Nouvelle rencontre sympa"

    En voulant vous souhaiter bon vent pour 2015 découvrons votre site remarquable

    En vous lisant n'avons pas besoin de demander si tout va bien

    Vous nous faites revivre, avec Cuba, notre dernier voyage de 5 semaines en novembre, décembre 2014

    Aurions presque pu se croiser à nouveau

    Avons lu dans l'avion de retour, le 15 décembre, la bonne nouvelle (mais attention à ce que les américains ne reproduisent pas leurs anciennes erreurs)

    Ici, morosité (et le mot est faible) ambiante

    C'est plutôt un choc de cultures dramatique. Qu'elle en sera l'évolution?

    Avons souri en lisant en début du blog vos présentations croisées respectives; Mireille retrouve une part de moi dans le regard d'Anne Marie envers Gabriel et pour moi c'est la même chose

    Désormais allons vous suivre à la trace 

    Sommes dans les starting blocs pour un départ fin février

    A bientôt 

    Carpe diem

    Mireille + Serge

    4
    antton
    Mardi 20 Janvier 2015 à 18:25

    Beau et bon voyage dans un pays que vous connaissiez et que voua avez retrouvé  sans trop de changements

    je revois l album photos et surtout le tableau !!!!!!! bises

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