• Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut... du 9 au 25 Mars

    Ils sont à 1500 kilomètres de Rio…

    Ils sont à 1500 kilomètres de Rio…

    Ils avalent en deux jours la moitié du parcours pour rejoindre Curitiba, près de la côte en passant par  une région de collines cultivées.

    L’autoroute se faufile à travers les forêts de la chaine côtière, des palmiers de plus en plus nombreux et de plus en plus hauts, des bananerais à droite et à gauche.

    Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut

     

    Les camions sont aussi de plus en plus nombreux et de plus en plus longs (30 mètres). Ils jouent avec les nerfs de la Trotteuse qui est au volant. L’autoroute monte et descend, dans les côtes Casita les double facilement….mais dans les descentes, ils prennent leur élan et la double … dans les montées elle les redouble ….

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    Un arrêt aux stands de vente de bananes  permettra de souffler un peu. De délicieuses petites bananes mures à point les régaleront, mais aussi les fera arriver de nuit dans un village, pour trouver un bivouac, mauvais plan…

      

    Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut

     

    Pas tout à fait ils trouveront la bonne personne très rapidement, qui les amènera dans un espace municipal fermé à clef et avec un gardien.

     

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    Après avoir fait le marché à Iguape,

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    ils arrivent, sous la pluie sur l’ile Camprida, sans charme. Ils espèrent se baigner, stationnent devant une plage, mais devant l’eau qui ne cesse de monter, ils se replient sur le parking de la préfecture qui ne menace pas de s’inonder, face à la plage. 20 heures du soir, « tiens nous allons faire connaissance avec la police… » Ils ne peuvent pas rester là trop dangereux, trafic de drogue… « Oui mais le camping est fermé » qu’à cela ne tienne, le policier en fait ouvrir un tout petit face à la plage, fermé par une simple chaine !!! Le lendemain, juste après le petit déjeuner, ils feront un plouf dans l’océan dont la température n’a rien à voir avec celle de nos côtes…

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                                                                       sur la route

    Juste un petit arrêt au bord de cette plage, pour se nourrir d’excellentes crevettes…

     

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    Toujours sur l’autoroute, des villes de plus en plus urbanisées, de moins en moins de station-service avec un grand parking, ils décident de rentrer dans une petite ville. Deux pépés prenant le frais assis sur un mur, les mettent en garde, qu’il ne faut pas stationner le long de la plage, trop dangereux trafic de drogue…il faut une station-service ouverte 24 heures gardée par un vigile…Rien qui ressemble à cela autour d’eux, ils repartent sur l’autoroute. 20 kilomètres plus tard une station-service en vue, mais le parking semble petit. Le pompiste indique au Trotteur qu’il ne peut pas les accueillir, et c’est comme cela qu’Éric se présente, car il connait un lieu, un poste de police. Eh non la police ne veut pas d’eux…Eric leur propose de dormir devant chez lui, mais à 20 kilomètres…D’accord répondent-ils. En fait ils refont à l’envers les 20 kilomètres…Arrivés chez Eric, c’est toute la famille qui est dehors, la maman Renata et les enfants Nicole et Guilhem. Les Trotteurs ne parlent pas le Portugais, la famille le Français, ni l’Espagnol…Moment un peu difficile  mais ils s’adaptent les Trotteurs…Il n’y aura pas de grande discussions… Guilhem trop content de montrer son cahier d’école, puis  il continuera par sa chambre, celle de sa sœur … les pizzas arrivent et la soirée se poursuit…Les Trotteurs se coucheront tôt ce soir-là.

     

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    7 heures du matin Eric part au travail, les Trotteurs se lèvent pour le remercier, le ciel est bleu, et pourquoi n’iraient ils pas déjeuner sur la plage, juste à côté. Un des pépés,  toujours au même endroit, prend déjà le frais, il reconnait Casita, il fait un grand bonjour…la plage immense est presque déserte, seuls quelques promeneurs, des sportifs… des pêcheurs qui s’installent. Après avoir déjeuné, ils partent eux aussi, se balader, se baigner dans une eau très très agréable. Mais il faut continuer la route. Ils repassent devant le mur « aux pépés » et cette fois c’est les deux qui feront un grand bonjour.

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    Est-ce de la brume au loin ? C’est à peine s’ils devinent le relief. Ils approchent de Santos, port pétrolier. La brume est en réalité un nuage de pollution…Construction de routes, d’échangeurs,  des camions, un vacarme assourdissant, et au milieu de ce bruit, de cette pollution, de braves hommes qui ramassent les papiers sur le bord de la route, qui nettoient le mur de séparation des voies…

     

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    Petit détour par l’ile Ilhabela la plus grande ile du Brésil, montagneuse son point culminant 1300 mètres, couverte d’une belle forêt tropicale. Le côté qui fait face au continent, est urbanisé tandis que celui face à l’océan est sauvage. Malheureusement il n’est accessible qu’en 4X4…  Deux heures d’attente pour prendre le ferry…et une arrivée de nuit mais Madame Garmin, cette fois leur a indiqué l’adresse d’un camping.

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    C’est Marcelo qui les reçoit, un client fidèle depuis 7 ans. Ils s’installent juste à côté de lui, et c’est avec  le ou plus exactement les verres de bienvenue qu’il termine les présentations, sa femme Lenice et 4 de ses 7 chats… Le lendemain au réveil, les Trotteurs découvrent leur cadre de vie : face à l’Océan, la plage juste en bas, des palmiers de toute part, des hibiscus et la chaleur…Le matin c’est le Colibri qui vient se nourrir dans les fleurs d’hibiscus, c’est le vol bruyant des perruches… il en sera ainsi tous les matins.

     

    Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut

     

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    Plage en fin d’après-midi quand la chaleur devient un peu plus supportable.

     

    Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut

    Marcelo et Lenice les attendent pour souper.  Repas très chaleureux, un Marcelo très admiratif de Napoléon, pour son intelligence, son sens de l’organisation, échange sur les modes de vie, Lenice était très au courant de la vie sentimentale de notre cher Président (et hop une fois de plus !!!), discussion politique sur l’ancien Président Lula et l’actuelle Dilma Rousseff. Et en quelle langue toute cette conversation pouvait-elle se faire, peut-être vous demandez vous ? Un peu en Espagnol, un peu en Anglais. Ce fut une belle soirée, et comme toutes les langues étaient parlées, les vins Français, Chilien, Argentins furent gouttés. Mais ne doit-on pas inverser ? Tous les vins furent goutés et toutes les langues furent parlées ?

     

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    Rassurez-vous, le lendemain pas de mal à la tête, juste un souci pour Marcelo une minette manquait à l’appel. Il était seul le soir suivant, il est venu partager le repas avec les Trotteurs. Marcelo et Lenice doivent venir en 2015 en France en octobre, les Trotteurs espèrent les recevoir.

    Poursuivant la route, à l’heure du bain, ils commencent à chercher l’endroit idéal pour se poser et y passer la nuit. La formule parking des bords de plage, ils n’ont pas encore essayé. En voilà un qui se présente, reçus comme un chien dans un jeu de quilles, ils repartent. Peu de kilomètres  après un nouveau. La personne très sympathique les installe au mieux, vite ils passent les maillots, et dans l’eau, le parking est attenant  à la plage. Plage encore immense, température de l’eau idéale, des vagues juste pour s’amuser, un bon moment pour se reposer de cette chaleur. Au matin ils découvrent la superbe maison de location, une maison comme ils les aiment  spacieuse (20  couchages) un patio avec palmiers recouverts d’orchidées, vue sur la plage, et de l’espace tout autour. Pour celui ou celle qui veut se détendre en famille un bon plan.(Facebook: zilda.guelssi)

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    Puis c’est le début de la « costa verde » encore une merveille de la nature. Il est difficile de prendre les photos pour plusieurs raisons. La végétation qui borde la route, est dense, les yeux s’y repèrent mieux que le ferait l’objectif. Puis il faudrait que l’appareil soit très réactif, tant il y a à photographier : des criques, des plages, des petits ports, des ilots savamment  installés, des montagnes au loin qui se confondent avec le ciel, des arbres mauves, jaunes au milieu de cette forêt, toujours du relief et la route qui monte et descend qui au dernier moment dévoile un magnifique paysage, un plaisir pour les yeux.

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    Et c’est dans ce décor, sous une chaleur accablante qu’ils arriveront à Paraty.

    Paraty « joyau de l’époque coloniale » Des maisons blanchies à la chaux, avec les encadrements de portes et fenêtres bleus, verts, jaunes, des rues pavées de gros cailloux irréguliers sur lesquels  il est facile de se tordre le pied,  une ville très touristique mais qui a su conserver tout son charme.

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    Ils rencontreront sur la jetée Mireille et Serge, voyageurs en bus. Après s’être régalés d’un vermelho caranha (poisson) grillé par le Trotteur, ils passeront l’après-midi autour de la table à parler voyage, littérature, un bon moment de détente sous les arbres.

    Beaucoup de petites criques feraient un bon bivouac, mais malheureusement elles sont « propriétés sécurisées » avec portique et gardien. Ils feront bien une tentative pour entrer, mais d’un geste clair, le gardien leur fait signe qu’ils n’ont rien à faire là.

     

    Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut

                                                                        Sur la route

    Il est trop tard pour arriver à Rio, dernier arrêt, ils demandent un endroit sûr à la police : le long de la plage !!! Il ne se passera presque rien sauf une grosse pluie qui leur permettra de passer l’éponge sur la pauvre Casita et au branchement électrique  voisin, de se mettre « bruyamment » en court-circuit…

    Dernière ligne droite, le parking du Pain de Sucre est bien programmé, reste à garder son calme pour affronter la circulation dans Rio…Il faut  comprendre très rapidement 1- que les klaxons des nombreuses motos sont juste pour prévenir qu’elles passent à droite ou à gauche, 2-qu’il faut rester bien au milieu, 3- qu’il faut rouler à l’allure des Cariocas, le résultat est qu’ils sont arrivés sans problème sur le parking du Pain de Sucre.

    Depuis leur nouvelle terrasse, et pour quelques jours ils voient  à droite le Corcovado, à gauche le Pain de sucre, ils ont à côté la plage, le tout dans le secteur très sécurisé, celui de l’armée, du quartier résidentiel Urca.

     

    Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut

     

    Dans la foulée,  c’est en compagnie de Sylvain, navigateur solitaire, étonné de trouver un camping-car Français… qu’ils feront la visite à leur voisin le « Pao de Açucar ».

                                                         
           Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut... du 9 au 25 Mars   Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut

     

    Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut... du 9 au 25 Mars

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    Quel panorama !!! La trotteuse s’extasie de la même façon qu’il y a 4 ans lors de sa visite (professionnelle). Ils resteront à admirer longuement,  jusqu’à ce que des milliers de petites lumières s’allument ajoutant du mystère…

                                   

    Ils rencontreront  Sophie et Jennifer,  tout le monde se retrouvera sur la nouvelle terrasse des Trotteurs pour partager un apéritif local, façon Trotteur (cachaça, citron vert, lait de coco, ananas).

     

    Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut

     

    La visite guidée du centre-ville passera par, place « Praça XV de Novembre » (plus vieille place de Rio), Cinelândia en souvenir de nombreux cinémas qui s’y trouvaient, le Théâtre Municipal, musée national de  Belas Artes et pour terminer le quartier Lapa, avec l’escalier recouvert de mosaïque,  véritable attraction touristique, du Chilien Jorge Selaron, l’aqueduc vestige de l’époque coloniale  alimentait 16 fontaines.

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                                                     La coupe du Monde de Foot n'est pas loin!!!!

    La visite sera faite en Anglais, sous une chaleur accablante, c’est très tôt qu’ils revinrent sur leur terrasse…Pendant la nuit, la pluie arrive, elle ne les décourage pas. Ils repartent vers Lapa, et ses maisons colorées,

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    puis poussent jusqu’à Catedral Metropolitana de Sao Sebatiao,

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    le musée de Belas Artes, où ils seront déçus,

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                                                         Maradona                          Samuel Beckett

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    le marché « Hippie » et termineront la journée plage Ipanema, la pluie aura été bien présente toute la journée, mais quelle importance, elle n’est même pas froide !!!!

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    Puis ce sera le Corcovado, avec  au préalable, 1h ½ de bus urbain, une erreur qui leur permettra de voir et longer l’hippodrome, le jardin botanique, de faire le tour de la lagune, les plages Leblon, Ipanéma, Copacabana à l’heure où quelques Cariocas sont en plein exercice physique…

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    Changement de bus, pour  la montée à travers la forêt de Tijuca, qui laisse entrevoir Rio avec ses immeubles qui deviennent rapidement petits. Quelques marches encore à gravir, et c’est le Christ Rédempteur et la foule. Le temps n’est pas particulièrement clair, mais il permet d’avoir une vue sur Rio et la baie de Guanabara.

     

    Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut... du 9 au 25 Mars

     

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    Ils décident de revenir vers le centre,  l'église de la Candelaria et le couvent  Sao Benito,

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    et le hasard les conduira dans le quartier du palais Impérial  dans lequel ils voulaient à nouveau se balader. En flânant,  le nez en l’air tant il y a de belles façades, ils se retrouveront à la station de métro Carioca, animée par des groupes musicaux.  

    Ils feront aussi le choix d’une visite guidée de favelas, pourquoi ne pas visiter une favela comme un autre quartier de Rio ? La favela dans laquelle ils se sont baladés, La Rocinha, est la plus grande de Rio voire du Brésil. On compterait 70000 et 200000 habitants selon les sources (1). Au pied du morros (colline) où elle est installée, le golf, l’école Américaine. Aujourd’hui, les cariocas qui y habitent, travaillent, nounous chez les « voisins », jardiniers, mais ils n’ont pas les moyens de payer un loyer en bas et encore moins de devenir propriétaire. D’un  côté de la rue ce sont des maisons hyper sécurisées, et de l’autre la favela. Pas ou peu d’ascenseur social possible on reste toujours du même côté. Dans la rue principale, ils constatent une vie économique intense. Les boutiques se touchent : magasin de mode, épiceries, boucheries, bazars, restaurants, des banques, des centres de santé …avec les motos taxis qui se frayent un passage au milieu de la foule, à grands renforts de coup de klaxons. Ils passent aussi par des « rues » qui sont en réalité  un enchevêtrement d’escaliers étroits, peints de couleurs vives, parfois carrelés. Un fouillis de fils électriques, à faire blêmir un agent EDF alimente postes de télévisions, ordinateurs, climatiseurs… Malgré l’anarchie des constructions, il est surprenant de voir que le réseau d’égouts fonctionne correctement. Les façades des maisons sont parfois recouvertes de carrelage de haut en bas, ou peintes, ou à 80%, laissées à l’état brut. Il semblerait également que les favelas soient des nids électoraux pour les politiques, (le vote est obligatoire sous peine de perdre avantages sociaux et droit à l’instruction pour les enfants) avec chantages de coupures d’électricité à la clef… Ce n’est pas la coupe du monde qui va calmer la grogne de ce milieu modeste, il pense qu’il vaudrait mieux construire des écoles.  Les écoles publiques sont réparties en  3 groupes celui du matin, de l’après-midi et du soir qui se partagent les mêmes classes à raison de 4 heures par jour chacun…Les écoles privées ne sont accessibles qu’aux plus fortunés. La guide évoquera aussi les bandes criminelles, en soulignant que la consommation de crack est le problème majeur. Cette consommation serait celle des classes moyennes et aisées. Ils sortiront de là en s’interrogeant « est-ce une favela vitrine » car ils ont lu récemment dans la presse que dans l’une d’elle, plusieurs policiers avaient été tués ?

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                                                                     Peintures dans l'école financée par Favela Tour

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    Comme nous sommes arrivés après le carnaval, nous tombons notre masque de Trotteurs. Rio nous a séduits, avec ses contrastes architecturaux, sociaux et surtout par la majesté de son cadre exceptionnel, une ville tentaculaire construite entre océan et collines boisées.

    (1) Pour valider le nombre d’habitants de cette favela, nous avons cherché sur Internet une information au plus près de la vérité, tant la fourchette était large. L’article du « Routard » sur la favela et l’agence que nous avons choisie, complètera notre commentaire et répond à notre dernière interrogation. Pour  le consulter, cliquez sur le lien suivant :

    http://www.routard.com/mag_reportage/145/la_rocinha_de_rio_de_janeiro_l_autre_visage_des_favelas.htm

     

     

    Ils sont allés à Rio et n'ont pas oublié de monter là haut... du 9 au 25 Mars

     

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  • Commentaires

    1
    lacrampe
    Samedi 29 Mars 2014 à 19:11
    j'ai eu un peu de mal à suivre car vous racontez le chemin pour aller à rio alors que nous avions vu des photos de la mégapole qui prépare la coupe du monde de football.
    On envie les belles plages et l'eau bien tiède..
    bises
    2
    lacrampe
    Samedi 29 Mars 2014 à 20:15

    j'ai regardé la carte du Bresil et plus particulièrement "la costa verde" là j'ai bien suivi l'itinéraire.

    el picaflor(le colibri)

    el colibrí de siete luces

    el picaflor de siete flores

    busca un dedal donde vivir:

    son desgraciados sus amores

     sin una casa donde ir

    lejos del mundo y de las flores........Pablo Neruda (arte de pájaros)

    3
    roger's65
    Samedi 29 Mars 2014 à 23:29

    Nous accueillons toujours vos écrits avec impatience tant ils sont délicieux, riches historiquement et géographiquement. Nous avons l'impression de faire le voyage en différé. Ce soir beau reportage à la TV sur le Panama, pays que vous devriez traverser.Il y a de belles choses à y découvrir.

    4
    Amitiés
    Dimanche 30 Mars 2014 à 17:59

    Récits, photos enchanteurs qui vont suivre votre voyage

    5
    jolette63
    Dimanche 30 Mars 2014 à 18:58

    C'est toujours un tel plaisir de lire les commentaires si bien écrits et documentés mais aussi plein d'humour de la trotteuse , un tel plaisir de regarder les photos et vidéos ! que de kms  parcourus mais que de sites superbes ! Votre blog nous met du baume au cœur . Continuez de nous faire rêver, nous en avons besoin,....d'autant plus un dimanche soir d'élections....

    Bises auvergnates

    PS  : le cadre B est promu !

    6
    michèle
    Dimanche 30 Mars 2014 à 21:56

    Quelles plages de rêve !!! Rio : photos et commentaires donnent envie d'y aller . L'image que vous nous donnez du Brésil confirme ce qu'on dit de ce pays : il semble vraiment en pleine expansion économique sans pour cela résoudre les problèmes sociaux .

    7
    Sophie
    Samedi 5 Avril 2014 à 20:25

    Chers Trotteurs, c'était un plaisir de croiser votre route dans la mythique Rio.


    La vue depuis le Pain de Sucre à la tombée de la nuit restera pour moi un des souvenirs les plus forts de mon voyage au Brésil et restera associé à notre rencontre, ainsi qu'à celle de Sylvain. Soirée magique, merci de l'avoir immortalisée ici.


    Au plaisir de vous lire !


    Sophie

    8
    Les Bagnérais
    Lundi 7 Avril 2014 à 16:22
    Toujours très heureux de continuer le voyage avec vous- Pour nous c'est la grande découverte- Nous ne pouvons nous passer de l'Argentine : une amie d'AUCH visite les grands sites en ce moment et retrouve de la famille à PIGUE
    Bonne continuation et bien amicalement
    9
    Marcelo et Lenice
    Dimanche 13 Avril 2014 à 14:04

    Gabriel et Anne-Marie,

    Nous avons apprécié leur description du Brésil et nous attendons d'autres nouvelles de votre blog.

    Notre chaton perdu retourné après deux semaines.

    Étreintes et bon voyage!

     

    Marcelo et Lenice

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    10
    Lundi 21 Avril 2014 à 17:19

    Merci pour ces superbes photos et films...nous avons passé un bon après midi du lundi de pâques très tristouille (météo pouah!) à St Max à vous lire, atlas à l'appui....des chutes d'Iguazu au pain de sucre...quel régal...On est toujours étonnés de toutes ces rencontres chaleureuses...et on ne peut s'empêcher de comparer avec nos concitoyens...je ne suis pas sûre que l'accueil en France soit le même avec les touristes!!. Bon, d'accord...les policiers sont les mêmes partout...certains sympas et d'autres...Profitez bien ...et bonne continuation...a bientôt pour un petit mail..Bises

    Elisabeth et Michel

    11
    odile Blois
    Lundi 21 Avril 2014 à 19:41

    Quelle(s) aventure(s)! avec vous on voyage ! mais sans les risques!glasses

    Françoise C. suit votre route,

    On attend la suite!

    Super et félicitations

    Odile et Roger

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