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Premiers pas en Bolivie du 11 au 21 Avril
A la douane Brésilienne, formalité très simple juste un tampon sur le passeport avec en prime un large sourire de la douanière....
A la douane Brésilienne, formalité très simple juste un tampon sur le passeport avec en prime un large sourire de la douanière.
Les Trotteurs seraient ils passés sur TV Cable ? C’est l’agent « télécom » qui leur assure, il a vu des photos…Oui ils ont bien été pris en photo devant, dans, Casita par une Brésilienne qui devait les transmettre à un ami qui travaille pour TV Cable…Ils sont comme Saint Thomas, ils ne croient que ce qu’ils voient.
Arrivée devant le poste Bolivien, ils commencent par payer un péage !!! L’agent de l’immigration serait-il muet ? Tout le laisse penser, ses lèvres n’ont pas esquissé un mouvement pendant les formalités. Maintenant direction la douane pour Casita. Ce sera un peu plus long à cause d’un tampon « annulé » apposé par l’agent de l’immigration. Il leur revient en mémoire, un passage de la frontière Chilienne, poste de télévision, musique endiablée, douaniers plaisantant, le passage s’effectuait en vingt minutes …ici rien de tel, une bonne heure à patienter dans la chaleur…
Premier contact avec la Bolivie, assez mitigé. Du monde, des motos qui circulent dans tous les sens, soulevant la poussière des rues de terre. L’environnement visuel change du tout au tout, enfin vous l’aurez compris, c’est quand même un choc, ils voulaient être dépaysés, ils vont l’être, pensent-ils à ce moment-là.
Ils sont dans la région de l’Oriente, région la plus prospère du pays. Leur route passera par les missions jésuites, les ruines pré incas, et la route du Che pour rejoindre les Hauts Plateaux du Centre.
La journée tire à sa fin, il y a quelques kilomètres pour rejoindre la prochaine ville.
C’est toujours mal aisé ces arrivées de nuit, tout parait glauque et le lendemain « ah c’est mieux que je pensais ». Puerto Suarez parait tranquille mais par sécurité ils vont jusqu’au poste de police. Ah ils seront bien gardés, ils étaient dans un périmètre sécurisé avec armée, police dans lequel il était interdit de stationner, sauf pour EUX.
Le changement se poursuit. Ici les vaches pacagent, non pas dans les prés, mais sur le bord de la route, des panneaux indicateurs rappellent « attention animaux». Elles ne sont quand même pas les seules, on peut y voir des chevaux, des ânes, des moutons en plus des poules et leurs poussins, les truies et leurs porcelets.
Dans ces conditions, la conduite nocturne est périlleuse. La prochaine ville est encore à plusieurs kilomètres, la Trotteuse, copilote, a trouvé un petit village niché dans les collines bénéficiant d’un climat frais. Si le guide pouvait dire vrai, pensent-ils, cela les reposerait de cette chaleur tropicale, qu’ils ont maintenant du mal à supporter. Quelques kilomètres après l’embranchement, la fraicheur, tant espérée, se fait sentir.
Santiago de Chiquitos est sur le circuit des missions jésuites, c’est un tout petit village. Il est organisé comme toutes les missions jésuites, l’église, face à elle, la place et autour de la place les maisons avec une avancée pour se protéger de la pluie ou du soleil. L’église vaut le coup d’œil, toutefois elle aurait besoin de travaux de conservation. Le jour où ils l’ont visitée, il pleuvait, les trous dans le toit laissaient passer l’eau. Ils se sentent bien dans ce village, ils y passeront 2 nuits.
Ils repartent dans le brouillard. Ils devinent le paysage qui doit être splendide. Mais ce n’est que de courte durée.
Si parfois la pluie ne « défigure » pas les paysages (carretera australe) ici il en est autrement. Cela devient austère, une route droite, de la végétation qui pousse dans un grand désordre, plus de palmiers, peu de circulation, quelques villages de chaque côté, rien de très attrayant.
La prochaine étape sera San José de Chiquitos.
C’est un bourg de 17000 habitants, avec des rues en terre,
grouillantes de vie, des motos qui débouchent de droite et de gauche, avec 2,3, passagers en plus du conducteur. Mais c’est aussi une belle mission jésuite avec son église entièrement construite en pierre ; jouxtent le clocher, la chapelle des morts et le lieu de vie.
Face à ces 4 bâtiments, la grande place avec ses arbres bouteilles,
et tout autour les maisons, avec les avant- toits. Grâce au travail de restauration de 10 ans, cette église est une véritable splendeur.
Ils la photographient sous tous les angles, ils sont comme aspirés par elle.
Au musée ils pourront voir les fresques découvertes par hasard au moment de la restauration.
C’est le dimanche des rameaux, jeunes et moins jeunes se mêlent pour une procession dans le village, les lauriers sont remplacés ici par les palmes.
C’est aussi la première fois qu’ils rencontrent tant de personnes, tel le quincailler, qui essaient de parler Français. Le lendemain opération GAZ…à la recherche du camion jaune dans les rues poussiéreuses…ils le trouveront mais c’est celui des bouteilles vides…Il faudra passer une nuit de plus, ne pas perdre de temps le matin, pour avoir du gaz au dépôt sans courir après le camion jaune. Ils feront un brin de causette avec un membre d’une communauté mennonite sous l’œil réprobateur des autres membres. Ils ont rencontré Aline et David deux jeunes Français partis en voyage depuis peu. Ils feront la route ensemble jusqu’à Santa Cruz, car après un moment d’hésitation, les Trotteurs renonceront au circuit complet des missions ; 650kms de piste de terre, ils ne veulent plus jouer avec balais, pelle, éponge tous les soirs…
Ils ne feront que passer à Santa Cruz, 1,54 millions d’habitants, la ville la plus importante du pays.
La route qui les mènera à Samaipata traverse une région agricole. De nombreux vendeurs d’oranges, mandarines, avocats sont installés au bord de la chaussée, mais étrange les Trotteurs ne verront pas les arbres qui portaient ces fruits.
Samaipata petit village tranquille (9700 habitants) est à 1650 mètres d’altitude. Tout de suite, il est facile de s’apercevoir que c’est un lieu hautement touristique, bon nombre de restaurants, agences de tourisme, touristes parlant toutes les langues (sans chauvinisme, le Français domine) mais dans une plénitude telle que, en moins de 5 minutes ils s’y trouvent bien.
L’intérêt du lieu, c’est le site pré inca d’El Fuerte. Et pourquoi ils n’iraient pas dormir sur le parking du site ? Très mauvaise idée. Ils grimpent sur une route en construction pour 6 kms…Si au début, elle est suffisamment large et bien aplanie, cela ne dure pas. Plus elle monte, plus elle se rétrécit, plus elle devient « impraticable » mais impossible de faire un demi-tour…. « attention dynamite » la tension monte comme la route, et le jour baisse. Un panneau avec des vagues, y aurait-il des bains ? non un gué à traverser !!! la hauteur d’eau n’est pas très importante, Casita peut passer, mais la suite, comment est-ce ? Pire que ce qu’ils viennent de passer. Casita traversera le gué pour faire demi-tour, la descente se fera lentement…c’était la séquence émotion du jour. Le lendemain, leurs billets en poche ils partent pour prendre un taxi. Juste un renseignement dans une agence, la première, peuvent-ils faire une visite guidée sur le site ? La chance est avec eux, non seulement c’est oui, mais en plus en français, ouah ! www.jukumaritours.com /danielabori@gmx.ch Ce site dès 2000 av. J.C. fut occupé par des groupes ethniques d’origines diverses, c’est peut-être pour cette raison que l’endroit se nommait Sabaypata (lieu de rencontre), pour évoluer vers Samaipata (repos dans les hauts plateaux, en langue quechua). Sur la dalle de pierre, élément principal du site, ils peuvent observer une série de sculptures représentant le calendrier solaire, pumas, jaguars, et serpents.
Ces sculptures sont l’œuvre les unes des Chanés, les autres des Incas. La visite se continue, avec toujours un beau panorama sur la région, par les maisons, celles des incas puis celle des espagnols (ils ont pillé le site dans les années 1600),
l’amphithéâtre, les sièges sont encore visibles. Pour ajouter encore plus de magie, les condors planent juste au-dessus de leurs têtes, pendant que la Trotteuse se recharge en énergies .
Pour leur première visite de vestiges incas, non seulement ils sont conquis, mais ils ont envie d’en voir d’autres et une mention particulière pour notre guide Daniela. Ce fut une visite guidée sur le site mais aussi une « visite guidée » du pays, des Boliviens très intéressante merci à elle. Un petit moment de relaxation sur la place du village, des précisions sur la route pour le jour suivant,(merci à Irvin pour ce trajet hors des sentiers battus et qui sera le théâtre de rencontres fabuleuses) clôtureront cette belle journée commencée très tôt. Eh oui, ici les coqs n’ont pas la ponctualité des horloges suisses, réveil à 3 heures…
Le lendemain le temps est nuageux, mais comme il n’a pas beaucoup plu pendant la nuit, ils pensent pouvoir faire sans problème une partie de la route non asphaltée qui mène à Sucre. Par précaution ils remplissent le réservoir à la première station-service, et là surprise, l’aimable jeune homme leur fait payer le prix Bolivien, c’est-à-dire 0,40 €/l alors que les étrangers doivent payer le double. La route serpente dans des paysages magnifiques, de plus en plus secs, au milieu de cactus de grande taille.
Ils commencent la route du CHE à Vallegrande où l’armée l’enterra après l’avoir exécuté le 9 octobre 1967.
A partir de Vallegrande la route n’est plus asphaltée, essentiellement en terre, par endroits étroite, mais surtout elle grimpe raide. Rapidement la trotteuse angoisse en apercevant le fond de la vallée qui s’éloigne. Casita profite d’un virage exceptionnellement large pour laisser passer un bus, et le trotteur s’accroche à ses roues.
La trotteuse est rassurée, Casita grimpe en seconde, parfois en première, les véhicules précédents ont un peu séché la piste, parfois vertigineuse. Arrivés sur la crête ils découvrent un panorama majestueux, les contreforts de l’Altiplano se devinent au loin, autour d’eux les zones cultivées dessinent des taches claires, superbe !!!
Après une trentaine de kms de montées et de descentes, dont les derniers un peu plus boueux, ils arrivent en vue de Pucara, 2455 m d’altitude, « ouf nous allons pouvoir nous poser, c’est assez d’émotions pour aujourd’hui » se disent-ils.
Nous vous autorisons à faire une pause, tant il y a à dire sur ce WE. Cette partie pourrait s’intituler :
Pâques à Pucara.
Le village est en plein chemin de croix du vendredi saint. Après avoir stationné Casita à l’entrée de la place, sur le seul endroit presque plat,
ils vont voir de plus près. Rapidement la conversation s’engage avec deux couples qui eux aussi regardent passer la procession ; les statues de Saint Joseph, du Christ allongé dans une vitrine, de la Sainte Vierge et de Saint Michel font le tour de la place accompagnées des fidèles.
Pendant ce temps la conversation se poursuit, en espagnol bien sûr, sur la religion, la linguistique…
Adhemar et son frère Edil, leurs épouses Angela (Brésilienne) et Esperanza habitent à Santa Cruz.
Après une rapide visite de Casita, ils décident d'aller ensemble au restaurant, se joignent à eux Simon et Elsa, les parents des deux frères. Le père de Simon était natif de Pucara. Simon est un personnage, il a consacré une partie de sa vie à la musique et en arrivant au restaurant il leur donne un DVD qu'il a enregistré et dont il a composé les titres. C'est de la musique typique de la région comme celle qu'ils entendront tout le WE.
Au cours du repas, les conversations continuent d’aller bon train, notamment sur l’histoire du Brésil, de la Bolivie en associant l’histoire de France à laquelle les Boliviens reconnaissent une influence déterminante sur l’histoire de l’Amérique.
En bavardant avec eux et avec les habitants, ils en apprendront un peu plus sur Pucara. Le village a été fondé par des juifs espagnols fuyant l'inquisition, ce qui explique que les origines indiennes sont ici beaucoup moins présentes. La fête de Pâques est l’occasion pour les natifs de revenir au village.
Le village est aussi à proximité de l’endroit où le Che fut capturé et tué. Son souvenir est très présent et les villageois sont prompts à raconter ce qu'ils savent de ses derniers moments.
Comme la veille, leurs nouveaux amis les invitent à partager leur repas, et c'est encore l'occasion de conversations animées.
Ils découvrent le samedi après-midi une coutume locale qui n'est pas sans rappeler, de loin, la course landaise. Une vache est amenée dans la rue au bout d'une corde et il s'agit de la provoquer, sauf que cette dernière est plus apte à donner du lait qu'à courir...mais le spectacle ravit le public. Pendant ce temps une banda assure l'animation musicale.
Le soir les Trotteurs invitent leurs nouveaux amis à un apéritif foie gras/chardonnay de Limoux, un super moment de convivialité et d’échanges, à bientôt peut être en France.
La nuit sera courte, premier réveil à 4h20 par une prière du "padre" polonais (Casita est garée près de l'église), puis à 5 heures les cloches rentrent de Rome. A 7 heures, ils sentent de l'agitation devant l'église et tout d'un coup, un accordéon se fait entendre. Malgré l’heure matinale, 7H30, le Trotteur intrigué saute en bas de la capucine, s'habille et va voir ce qui se passe. Sur les marches de l'église, trois musiciens, un grand faitout sur un réchaud, des gobelets de lait, du fromage, des épis de mais qui circulent, et un groupe qui danse.
Un gobelet est tendu au Trotteur contenant de l’ambrosia, lait enrichi d'une bonne dose d'alcool de canne à sucre ! Il est entraîné dans la danse, ainsi que la Trotteuse elle aussi poussée par la curiosité.
Dans l’après-midi, étonnés que la messe de Pâques ne soit pas encore célébrée, ils poseront la question à une dame, qui aussitôt se mettra à rire ; en fait la messe s’est déroulée de 3 heures et demie du matin à 7 heures !!! juste à côté d’eux. Le curé a béni les fidèles sur la place et Casita par la même occasion.
Vers 8 heures et demie un troupeau de vaches est poussé sur la place, bizarre!
Le Trotteur curieux va voir. Des gobelets garnis d'un généreux fond d'alcool sont remplis de lait au pis de la vache qu'on alimente pour la faire tenir tranquille. Tout le troupeau passera à la traite à la grande joie des participants stimulée par les doses renouvelées jusqu'à plus soif. La bruine et la pluie qui tombent par intermittence, n'altèrent en rien l'allégresse générale qui contraste avec la modestie du lieu.
Les libations accompagnées de grillades vont se poursuivre toute la journée, au son de deux groupes musicaux locaux.
C'est ainsi que l'on fête la résurrection du Christ à Pucara.
Les dits Trotteurs ont quelques mots à ajouter : nous avons partagé des moments intenses avec Adhemar, Angela, Edil, Esperanza, Simon et Elsa, et nous espérons bien en passer d’autres un jour en France. Les participants à la fête de Pâques de Pucara nous ont réservé un accueil excessivement chaleureux en nous intégrant spontanément à leurs festivités, nous les en remercions du fond du cœur. Casita n’a jamais eu autant de visites de « courtoisie ».
Nous regarderons avec plus d’attention les compositions à venir du PSG, nous avons rencontré le père et la cousine de Juan Antonio Arteaga, jeune joueur du club de la capitale.
Les voilà prêts à reprendre la route, sans oublier de dire au revoir aux gens du village. La route est toujours aussi impressionnante, continue de monter, le panorama est toujours magnifique, ce matin-là le beau temps est revenu. Il y a peu de circulation et c’est tant mieux, le vide est à droite et à gauche en même temps…prudemment Casita avance. Ouf ils amorcent la descente, la route s’élargit. Les couleurs de l’automne commencent à apparaitre, presque ils se retrouveraient en Ariège, mais avec les cactus en plus.
La pente s’accentue brutalement, m’ pas peur la Trotteuse. Ils arrivent dans une zone désertique, acacias,
Dans un hameau perdu au milieu de la pierraille, un jeune garçon leur fait signe de s’arrêter, il doit rejoindre le village suivant…Changement de végétation, des fleurs, des résineux, des vaches et leurs veaux des grosses flaques d’eau aussi. Après une bonne heure de route, le jeune est arrivé à destination, et les estomacs des Trotteurs crient famine. Renseignement pris, ils peuvent manger au Nuevo Mundo. En fait ils se retrouvent dans une modeste pièce, un lit, 3 tables occupées par 5 personnes silencieuses, à qui, avant de s’installer la Trotteuse fera le service. Par le passe plat, arrivent 2 écuelles de soupe et 2 cuillères, qui constitueront le seul couvert, avec un morceau de poule, difficile à manger sans fourchette et couteau, puis l’assiette de riz, pomme de terre, œuf le tout sous les posters géants de Christiano Ronaldo, et Lionnel Messi, anachronique !!! Au moment de payer, « on donne ce qu’on veut » dit la dame…En fait ils n’étaient pas dans un restaurant mais chez un particulier. La route continue dans la forêt, elle est toujours aussi sinueuse, monte, descend, un panorama qui n’a de cesse d’émerveiller les Trotteurs. Une corde entre 2 arbres, et c’est la viande qui sèche en pleine forêt…
Arrivés au sommet ils basculent sur une autre vallée, des pâturages cette fois et l’altiplano au fond…magnifique. Ils s’arrêtent pour admirer ce paysage.
Une institutrice les interpelle pour leur demander s’ils peuvent descendre une maman jusqu’ au village du bas. Cette personne, membre de l’association « PLAN » qui s’occupe essentiellement des enfants, leur décrit les difficultés des familles de ce hameau. Ils se trouvent face à la réalité économique de la Bolivie, pays le plus pauvre de l’Amérique du Sud, avec tous les problèmes de nutrition, éducation, équipements sanitaires, et hygiène. Elle leur demande s’ils ont des vêtements pour les enfants (déjà donnés en Argentine lors des inondations) et leur laisse ses coordonnées pour un envoi par la poste.
Si vous voulez les aider en vêtements et chaussures uniquement vous pouvez envoyer à :
Delia Tapia Sejas
Chuquisaca
Sucre Bolivia
Ils descendront la maman et 4 de ses 7 enfants.
Enfin ils retrouvent la route asphaltée après 100 kilomètres de piste. Il se fait tard, ils ne pourront pas atteindre Sucre comme prévu. Deux hommes sur le bord de la route leur font signe, jamais 2 sans 3 allez nouvel arrêt. A peine installés, le plus âgé commence à parler. Hasard, il a travaillé en Espagne, et avec des amis, ils sont allés à Tarbes, la Trotteuse a bien sur tendu l’oreille, puis Lourdes et Pau. Il a quitté l’Espagne en raison de la crise économique, en Bolivie il y aurait plus de travail.
Point commun de ces trois transports, les personnes ont toujours demandé ce qu’elles devaient…
Leur route va maintenant vers les hauts plateaux…
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Commentaires
2lacrampeJeudi 8 Mai 2014 à 23:50La Bolivie? pays pauvre de l'Amérique du sud semble très accueillante.Le réseau routier difficile et bravo au chauffeur de Casita !
Pâques semble un curieux mélange mais la pauvre vache n'a rien de terrifiant et le mélange lait alcool vous l'avez goûté?
3anttonDimanche 11 Mai 2014 à 17:27Encore du beau et du pittoreque sympa de nous faire connaitre et participer à la fête de Pâques en Bolivie.....
je vois que le < che >est toujours présent dans le pays Bises A plus
4les BagnéraisDimanche 11 Mai 2014 à 21:54Toutes vos rencontres nous émerveillent - Pour les routes pentues et étroites - le bagnérais ne s'inquièterait pas trop mais la bagnéraise serait plutôt verte...le lait frais un peu alcoolisé la rassurerait sûrement - A bientôt
5michèleVendredi 16 Mai 2014 à 22:45Beaucoup d'images insolites ( la viande qui sèche en forêt , d'énormes paraboles sur le toit d'un village aux rues mal pavées et boueuses ! ) Quel dépaysement !
Quel effet produit un mélange lait-alcool au petit déjeuner ?
6AmitiésDimanche 18 Mai 2014 à 21:347Alain et MoniqueLundi 26 Mai 2014 à 18:23Avec un peu de retard, nous étions partis faire une petite escapade en Italie, moins grandiose que la Bolivie mais pas mal quand même. Casita tient le coup, c'est bien le voyage n'est pas fini.
8Alain et MoniqueLundi 26 Mai 2014 à 18:24Avec un peu de retard, nous étions partis faire une petite escapade en Italie, moins grandiose que la Bolivie mais pas mal quand même. Casita tient le coup, c'est bien le voyage n'est pas fini.
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tout est magnifique et fait rêver et cela me motive encore plus pour me joindre à vous .Car je viendrai seule. Alain a des problèmes de santé et ne pourra pas venir. Pourriez vous me contacter le plus rapidemment possible pour que je puisse prendre les billets d'avion : j'ai essayé de vous joindre par Skype et je n'ai pas réussi
je vous embrasse
paulette