• La partie de cache cache avec les volcans du 31 août au 14 septembre 2014

    Avant de partir Teodoro, le mari d'Amelie, leur avait conseillé   d'aller à Ambato où ils devraient trouver un fabricant de vitres de voiture pour remplacer le plexiglas provisoire....

     

                              

    Avant de partir Teodoro, le mari d'Amelie, leur avait conseillé   d'aller à Ambato où ils devraient trouver un fabricant de vitres de voiture pour remplacer le plexiglas provisoire.

    Cela tombe bien car Ambato est sur leur chemin. Pour y parvenir retour dans les Andes, qui pour le coup ont un peu la tête dans les nuages. Sur la route de magnifiques étals de fruits. Ils entrevoient le sommet de volcans enneigés se détachant sur le vert de la forêt. Arrêt à Baños, pour enfin mettre à jour le blog, plus d'un mois et demi depuis la dernière livraison. Et direction Ambato à 40 km de Baños. Le deuxième vendeur de pare-brise qu'ils questionnent, les aiguille chez son fabricant à Riobamba à 50 km. La route qui y mène monte, ça ils ont l'habitude, mais par contre Casita n'a pas l'air très en forme, ce doit être l'altitude.

                      

    A peine arrivés dans l'entreprise Viset, Casita est prise en main, pas de problème pour faire deux nouvelles vitres, même avec 2 courbures, un moule sur mesure sera fait. Après une nuit sur place, avec Wifi, tout est placé en fin de matinée, pour 64 euros! ! Chez Ford les vitres seules coûtent 190 euros, sans commentaire...

                                           

                                          

    Ils passent une nuit tranquille au pied du Chimborazo à Guabo, communauté de petits éleveurs, seulement réveillés à 6 h du matin par les annonces de la municipalité! Comme toujours, depuis qu'ils sont en Équateur, les habitants viennent parler et visiter Casita (il n'y a pas de camping-car dans le pays). Et en route pour aller voir ce fameux Chimborazo (6310 m), mais Casita ne l'entend pas de cette oreille.

                      

     

    A 4000 m elle se met à chauffer. Demi-tour direction Riobamba.

     

     

    Un « mecanico » est rapidement trouvé. Sondes de turbo et de filtre à air encrassées seraient la cause de l'incident. Le lendemain, nouvelle tentative.

    Ils arrivent à 4000 m, les vigognes sont toujours là, rebelote à 4200m température dans le rouge! Mais cette fois ci la température redescend très vite??? Du coup ils passent rapidement au pied du volcan, sacrément impressionnant avec son dôme enneigé.

                                         

    La redescente vers Baños se passe sans encombre, dans des montagnes où la moindre parcelle est cultivée,   mais il faut résoudre le problème de Casita...

                       

     

    A Baños le temps maussade ne les encourage pas à mettre le nez dehors, ils monteront toutefois à Bellavista pour tenter de voir le Tungurahua, 5023 m.

                                                                  Baños vue depuis le belvédère

     

    Il se cache dans les nuages, mais la patience paye: tout d'un coup un nuage de cendres jaillit de la couche nuageuse rapidement emporté par le vent, qui soufflait dans la bonne direction.

                         

                                   

     

     Le volcan n'est qu'à 7 km de Baños et ses éruptions ont nécessité par le passé l'évacuation de la ville pendant plusieurs jours. Alors il sous surveillance constante.

    Ils font aussi une belle rencontre sur le terrain de camping: Lucile et Florian sont en voyage en Amérique du Sud, sac à dos. Autour d’un repas « à la fortune du pot » ils découvrent que leurs chemins se sont croisés, parfois de très près, cette fois c’est la bonne, ils partiront ensemble jusqu'à la lagune Quilotoa dans deux jours. Le dernier soir le Tungurahua les gratifie d'un nouveau nuage de cendres visible depuis les rues de Baños.

    Et voilà Casita repart avec 4 occupants c’est l'opération « camping-car hôte », appelée aussi « camping-car surfing » qui commence.

    La route est belle. Malgré la forte pente, la montagne est toujours cultivée, c’est impressionnant. Ils ne sont pas partis très tôt nos voyageurs, leurs estomacs crient vite famine. La route est jalonnée de petits « restaurants » inutile de demander le menu, des cochons pendent devant leur porte, et les bassines regorgent de morceaux de viande cuite, bien appétissants.

                                               

    Ils s’arrêtent au dernier sur le côté gauche de la route, Casita reste bien en vue. Tandis que la conversation va bon train, leur voisin de table leur fait des signes, mais que veut-il dire ? Il montre Casita, oui elle est bien là, il y a quelque chose sous elle qui ressemblerait à des sacs…Oui il y en a un rouge. Florian réalise que ces sacs sont  LEURS SACS, mais que font-ils sous Casita ? Ni une ni deux il traverse la route suivi de Lucile et des Trotteurs. Florian interpelle un homme qui immédiatement part en courant vers la voiture qui l’attendait…la fenêtre de Casita est ouverte…Lucile vérifie le contenu des sacs rien n’a disparu ouf, à l’intérieur de Casita tout est en ordre, seule la fenêtre a été légèrement cassée. Mais pourquoi cet homme, qui a ouvert la fenêtre « avec précaution » a posé les sacs par terre sans les fouiller ? Il venait les prendre où moment où Florian est arrivé. Remis de leurs émotions, les sacs cette fois dans leur dos, ils retraversent tous les quatre la route, remerciant cet homme sans qui la journée aurait été gâchée. Lucile et Florian ont un autre point en commun avec les Trotteurs, une de leurs tablettes a « disparu » au Pérou, dans un hôtel.

                         

                                                                           Sur la route

    Le paysage qu’ils découvrent est toujours aussi somptueux. Le soleil, commençant à décliner, donne à ces champs cultivés une couleur dorée, des canyons profonds coupent le plateau, les femmes ramènent les troupeaux, tout cela crée une impression de douceur, et de quiétude que les quelques touristes en route vers la lagune ne trouble.

                        

                        

      

     

    Ils arrivent au village paisible de Quilotoa, pour une nouvelle nuit en altitude.

     

    Le lendemain, c’est la lagune Quilotoa qui leur offre un spectacle grandiose.

     

    Elle est là devant leurs yeux, au fond de ce cratère volcanique, considéré encore comme actif, sa couleur changeante, selon que le ciel est chargé ou pas de nuages, des taches bleues, blanches, grises. Lucile, descend en courant.

                                             

     Florian la suit au pas des Trotteurs, on lui a volé quelques jours avant la paire de chaussure qui lui restait… Tandis que la lagune grandit devant leurs yeux, Lucile disparait petit à petit pour devenir qu’un petit point. Un jeune garçon les double menant 3 chevaux, bonne nouvelle pour la Trotteuse, la remontée  sera peut-être facile car pour l’instant la descente est raide.

    Au bout d’une demi-heure ils touchent le bord de l’eau. Personne n’a envie de parler, juste ce qu’il faut, pour ne pas troubler ce silence, cette sérénité. Les lamas paissent tranquillement, la vue de touristes ne les émeut pas.

     

    Une jeune fille amène deux chevaux se désaltérer au bord du la lagune. Il est temps de remonter, la Trotteuse opte pour un cheval, « prix non négociable et obligation de prendre les deux chevaux » annonce la jeune fille, alors le Trotteur lui aussi se fait hisser jusqu’au sommet du cratère, ce qu’il ne regrettera pas à l’arrivée.

                          La partie de cache cache des volcans 

    La route vers Quito, ils la feront toujours ensemble. Conforme à « ses principes » le Trotteur ne choisira pas la route la plus facile, c’est-à-dire la belle route asphaltée mais la piste eh oui ils ne connaissent pas les pistes Equatoriennes !!! Celle-ci n’a rien à voir avec les pistes Argentines ou Boliviennes, certes le bruit est revenu dans Casita, mais il n’y a pas un nuage de poussière qui la suit. Mais que cela vaut la peine se disent-ils, encore des canyons, des maisons accrochées à la pente, la moindre partie de la montagne cultivée…Au bout de 20 km ils retrouvent la route asphaltée, et un peu plus loin, le brouillard. Il est temps de s’arrêter, devant une petite église de campagne, jouxte un bâtiment auquel ils ne prêtent pas attention. 6H du matin c’est le laitier qui arrive, ils sont garés juste devant une laiterie… ce sera la première tournée. La seconde 2 heures plus tard, elle les décidera à sortir du lit, Quito n’est pas si loin…

    Pour Casita la route n’est pas une partie de plaisir. Elle grimpe avec difficulté, tousse. Les Trotteurs ont les yeux scotchés sur l’aiguille de la température…mais non elle ne bouge pas. Cahin-caha, elle arrive en haut des côtes reprend son souffle dans les descentes, puis se sent mieux, ils sont aux portes de Quito.

    Après des tours et des détours pour rejoindre le parc Guanguiltagua et des palabres pour obtenir le droit de dormir sur place (restriction des autorisations de camper), les voilà installés à l’écart de toute circulation bruyante. Cette fois Lucile et Florian ne pourront pas monter leur tente, ils s’installeront complétement dans Casita. Pour les Trotteurs la première visite sera pour le garage Ford. Il faudra y revenir le lendemain, la « valise » détecte de l’eau dans le réservoir de GO, nous sommes vendredi, rendez-vous pris pour lundi.

    Pas de temps à perdre, ils descendent dans Quito.Ils commencent par le quartier remuant de Mariscal Sucre. Des auberges pour routards peintes en bleu, rose, vert, beaucoup d’animation, et ce n’est que le début d’après-midi, des restaurants, bien vu pour le Trotteur qui va pouvoir assouvir son envie de VIANDE, avec un verre de vin Argentin ; quelques emplettes, pour terminer le réassort de ce qui leur a été volé.

                     

    Un taxi les amènera à la Casa de la Culture Equatorienne. A l’intérieur le musée del Banco Central où ils se régaleront de l'exposition d'objets précolombiens, même si elle a un air de déjà vu. Un tour en bus pour aller dans le centre historique, classé au Patrimoine mondial depuis 1978.

                                             

    Ils remontent par la rue de Chile, entrant dans le monastère San Agustin, pour arriver Place de l’indépendance.

                                           La partie de cache cache des volcans    La partie de cache cache des volcans  

    Les places Sud-Américaines décidément dégagent une impression très particulière, de quiétude, de convivialité, sont très animées, spectacle de rue d’où fusent des rires et applaudissements. De beaux bâtiments bordent cette belle place ombragée de palmiers : la Catedral Metropolitano, le centre culturel Metropolitano ancien bâtiment Jésuite où les portes ouvertes laissent le promeneur entrer sans demander la « pièce » pour découvrir de beaux patios, une exposition d’œuvres contemporaines très originales.

                                              La partie de cache cache des volcans   La partie de cache cache des volcans

            

    Un rapide coup d’œil à la petite chapelle El Sagrario, juste pour admirer sa coupole, peinte.

    La partie de cache cache des volcans

    Les Trotteurs se baladeront dans ce quartier, aux maisons coloniales bien conservées, les tours de la Basilique toujours en vue qui se dégagent dans le ciel enfin presque bleu.

    La partie de cache cache des volcans

     

    Ils traversent la Place San Francisco.

    La partie de cache cache des volcans

     

    Ils repassent par le quartier Mariscal Sucre, toutes les discothèques sont ouvertes, on y fait la queue pour y rentrer, les rues sont bondées, la musique résonne à tous les coins de rue et ce n’est que 19h.

                                         La partie de cache cache des volcans   La partie de cache cache des volcans     

    Ils rejoignent Casita et le calme du parc Guanguiltagua, Florian et le Trotteur iront voir un match de foot, et tous ensemble décideront que demain samedi ils partiront à Otavalo jour de grand marché.

    Une belle route très récente, avec une circulation bien fluide, les 90 kms devraient être vite avalés…mais ce n’était qu’illusion il leur faudra 3 heures en réalité (ils apprendront plus tard que la route du Nord est coupée ceci explique cela)

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     Enfin Otavalo !!!

    Le marché d’Otavalo est immense, des rues et des rues où les marchands sont installés : vendeuses de tenues traditionnelles pour les femmes, la tradition n’est pas prête de disparaitre vu le nombre d’étals, vendeuses de bijoux, les femmes sont très coquettes, vendeuses de cintas , rubans très colorés que les femmes utilisent pour nouer leur queue de cheval (Lucille et la Trotteuse(pour ses petites) cèderont à l’envie) vendeur de soutien-gorge à « 1 dollar » crie-t-il à toute personne qui le frôle, vendeurs de chaussures, de tissus, de gros pulls bien lourds tricotés main, de CD….

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    Ils arpenteront les rues en long en large et en travers, jusqu’à découvrir presque par hasard la place plus fréquentée par les touristes. Les articles y sont presque les mêmes, hamacs, sacs de toutes les tailles et formes, tissus, bijoux, mais elle est moins bruyante.

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    Pendant que la Trotteuse faisait une pause, une petite bonne femme, le visage ridé comme une pomme à la fin de l’hiver, lui chatouille le dos, tendant un gobelet prêt à recevoir la pièce. Elle craque la Trotteuse…Deux minutes plus tard, elle retrouve cette petite bonne femme un grand sourire illuminant cette fois son visage, une glace à la main et toujours le gobelet mais vide…avec sa  copine  glace à la main. Eh oui le Trotteuse a contribué à un doux plaisir !

                                        La partie de cache cache des volcans   La partie de cache cache des volcans

    Ils n’en finiront pas tous les quatre de déambuler au milieu de ces tissus très colorés, mais l’heure tourne il y a 90 kms à faire.

    Le retour sera un peu plus rapide, il est décidé que le lendemain sera cool, grâce matinée, farniente. Ils ont suivi le programma à la lettre, sauf Lucile, elle a couru pendant presque 2 heures dans le parc. S’en suit une soirée crêpes, c’est Florian et Lucile qui s’y collent, les crêpes sautent, pas de cidre, interdit de vendre de l’alcool le dimanche.

                                                La partie de cache cache des volcans   La partie de cache cache des volcans

    Et la partie de Scrabble pour terminer la soirée comme souvent; pour les joueurs invétérés un mot  difficile à placer, URNAPOUILLER, définition du dictionnaire : ce que peut faire un schmilblick sur des istioplocks, pour pousser plus loin ISTIOPLOCK une chose qu’un schmilblick peut urnapouiller. Ils ont cru tous les quatre que le dictionnaire était devenu fou, mais internet confirma, c’est du Pierre Dac, tiens donc. Encore une fois le Trotteur gagna cette partie, c’est parfois décourageant de jouer avec lui !!!

    La parenthèse inattendue n° 2 celle de Lucile et Florian se referme peut être provisoirement, ils sont partis en Colombie où se terminera leur voyage, les Trotteurs espèrent pouvoir quitter Quito d’ici peu, Casita en convalescence, le frigo à l’arrêt, et l’ordinateur moins capricieux avec internet.

    La partie de cache cache des volcans

     

    Aujourd'hui est un jour un peu spécial pour les Trotteurs: ils fêtent la fin de leur première année de voyage. Ils ont préparé à votre intention un petit résumé en images de leur périple, que les abonnés à la news letter ont déjà reçu en primeur.

                                         

     

    La partie de cache cache des volcans

     

     

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  • Commentaires

    1
    catherine cantegreil
    Mardi 23 Septembre 2014 à 10:30

    Coucou vous deux. Après  un long silence de ma part (les vacances sont passées par là) je reviens vers vous pour découvrir toutes vos aventures.

    Quel magnifique voyage. Vous devez avoir des couleurs plein les yeux... Et où en êtes vous de vos carnets de voyages? Gabriel peint il un peut ou bien n'avez vous pas le temps? Ce que je comprends vu ma production inexistante de l'été.

    A l'atelier, nous pensons bien à vous. L'exposition des élèves était très belle et vous y figuriez aussi puisque j'ai des tableaux à vous. Du coup, certains m'ont demandé si vous étiez de retour...

    Je vous embrasse et vous dis à bientôt, par ordi inerposé!!!!!!!

    Cathy

    2
    les Bagnérais
    Mardi 23 Septembre 2014 à 14:48

    Salut les trotteurs au long cours

    Nous voyageons avec vous, à chaque oocasion et avec autant de plaisir.

    Nous vous sentons déjà un peu plus près de nous après votre franchissement de l'équateur.

    Le résumé de la partie sud de votre voyage est magnifique: que de rencontres (on y a même vu des têtes connues), de paysages, d'aventures et de souvenirs.

    Continuez de vous régaler et de nous faire rêver

    Nous vous embrassons

    Les Bagnérais

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    3
    michèle
    Mardi 23 Septembre 2014 à 23:02

    Je n'imaginais pas l'Equateur aussi "moderne"  ( rues de Quito )  ! Et je reste admirative de ces campagnes , bien  cultivées . Quant au marché d'Otavalo , quelle splendeur , on en prend plein les yeux ( J'ai adoré ces hamacs-balancelles colorés auxquels je n'aurais pas résisté si j'avais flâné sur ce marché  ) Quel voyage magnifique vous nous faites faire ...

    Très belle idée aussi que ce résumé en images .

    Nous sommes prèts à vous suivre dans l'Amérique du Nord en souhaitant que Casita reste vaillante. Bon vent 

    A bientôt

    4
    nicodesbois
    Mercredi 24 Septembre 2014 à 17:49

    Ola gringos ! Félicitations pour ce premier anniversaire sur les routes. Chapeau bas, que de chemin parcouru, il en reste encore...

    Bravo à vous deux.

    La bise villemachoise

     

    5
    journaliste amateur
    Vendredi 26 Septembre 2014 à 08:27

    Magnifique. C'est toujours passionant. Je continue à voyager par procuration avec vous

    bisous

    6
    Samedi 27 Septembre 2014 à 15:05

    Felicitations pour vos douze mois de voyage et vos magnifiques rencontres

    Nous avons pris bien du plaisir à decouvrir votre montage -aniversaire ..superbe !!

    Bonne route , Bisous

    Monique et André (Fitz Roy )

    7
    les Bagnérais
    Samedi 27 Septembre 2014 à 17:55

    Bonjour les Trotteurs,

    "Faut pas rêver" - Hé Oui nous avons rêvé à nouveau hier soir sur les pentes du Machu Picchu et sur les bords du Lac Titicaca

    Nous n'avons pas su vous reconnaître - les images défilent vite

    Que de Trésors connus et combien encore à découvrir...

    Bonne continuation y A Pronto  

    8
    Amitiés
    Lundi 29 Septembre 2014 à 18:48

    Toujours de récits agréables à lire et des photos agréables à regarder. La rétrospective de votre première année de voyage est remarquable.

    9
    amis odile richard
    Mardi 30 Septembre 2014 à 14:57

    félicitations pour votre récit et les photos.

     

    bonne route

    martine et robert

    10
    parents de Florian
    Mercredi 1er Octobre 2014 à 14:36

    A travers votre blog (et le leur), nous avons le plaisir de faire votre connaissance et de lire les différents récits accompagnés de photos toujours très riches en couleurs. Nous sommes certains qu'ils garderont un excellent souvenir de ces moments partagés avec vous en Equateur. Nous vous souhaitons bonne route et une deuxième année encore pleine de belles rencontres...

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    11
    journaliste amateur
    Mercredi 1er Octobre 2014 à 20:43

    rétrospective d'une beauté à couper le soufle mais également très émouvante grace aux nombreuses rencontres improvisées.

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